LES CLES DU DIMENSIONNEMENT
Ouvrages en commandePhotovoltaïque autonome
Photovoltaïque raccordé au réseau

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Conclusions sur l'efficacité des ouvrages de dépollution des eaux usées
LES STATIONS D’EPURATION
Après plus de 4 ans de recherche sur 21 stations d’épurations représentatives du parc français, le programme de recherche AMPERES, lancé en 2006 par le Cemagref et Suez Environnement, vient de livrer ses résultats sur l’identification des micropolluants et l’efficacité des traitements sur les stations existantes.
Si les résultats sont qualifiés de « satisfaisants », les stations actuelles laissent encore passer beaucoup trop de polluants. S'agissant du traitement des substances prioritaires définies par la directive cadre européenne, les stations d’épuration éliminent déjà une part importante des substances (arrêt de 85% ces molécules). Des efforts restent à faire sur les autres substances étudiées, rejetées dans les eaux usées.
Finalement, 15 % des substances prioritaires, 30 % des molécules organiques et 90 % des substances pharmaceutiques se retrouvent dans les rejets en sortie de stations d’épuration conventionnelles en raison de leurs propriétés physico-chimiques et de leur concentration élevée en entrée de stations d’épuration. Une dizaine de substances préoccupantes ont également été identifiées comme pouvant conduire à un dépassement des normes lorsque le débit du cours d'eau récepteur est très faible.
LES SYSTEMES AUTONOMES
Les systèmes d'assainissement autonome peuvent être efficaces contre la pollution organique, contre les matières en suspension et les germes. Ils le sont moins pour le traitement de l'azote produit par les déjections humaines. La qualité de leur conception, leur dimensionnement et leur entretien conditionnent leur efficacité pour la protection du milieu naturel.